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La vie est une longue marche sans but
15 novembre 2015

Piège de l'amour et prison du couple au cinéma

medium_scenes_de_la_vie_conjugale_2   Bergman dans Scènes de la vie conjugale illustre mon triple principe :

l'amour est un piège,

le couple est une prison,

la famille est un esclavage.

Même si la scène finale, contrastant avec la violence des scènes précédentes, peut être vue comme un éloge de l'amour, je la vois plutôt comme une preuve de l'inconséquence profonde des "héros", et une confirmation de mon observation que "l'amour est un piège".

 

 

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Commentaires
E
Si l'humanité n'a pas disparu, notamment par refus de procréation pour les raisons que je développe (sans être le seul à le faire), c'est que la sélection naturelle a installé dans nos gênes un instinct de procréation plus puissant que le raisonnement basé sur les faits. C'est ce que R. Dawkins désignait sous le nom de "gêne égoïste" : une "programmation" pour la survie de chaque espèce au détriment des individus.
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A
Je comprends ce que tu écris, mais c'est dur d'expliquer pourquoi l'humanité ne s'inscrit pas dans cette logique et continue à vivre les poncifs éternels.<br /> <br /> Pour l'instant, nul n'a apporté la réponse.
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La vie est une longue marche sans but
  • Réflexions sur l'inutilité de la vie et des souffrances qu'elle engendre, et sur la catastrophe d'être né, dans la ligne de E. Cioran et des nombreux auteurs qui ont pensé et pensent de même.
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